La technologie, les innovations, et bien sur l‘IA sont réellement présentes au sein de notre société actuelle. Cette dernière est en pleine transformation, et nombreuses sont les personnes troublées par ces nouveaux procédés automatisés aujourd’hui. Mais est-ce que l’Homme s’est fait dépasser par la robotisation ? Ou son rôle est-il encore important et dominant ?

Le rôle de l’Homme

Le potentiel de l’IA est conséquent. Il influence fortement notre manière de travailler, et celle de vivre. Mais l’automatisation d’un processus ou d’un service grâce à l’intervention de l’IA n’est pas forcément que technologique. En effet, l’humain a son mot à dire et permet le bon fonctionnement du projet.

Une participation active

Tout d’abord, le robot a la capacité d’effectuer l’ensemble des tâches chronophages, « bêtes et faciles » comme on nous entend dire, celles qu’on est obligé de faire mais dont on souhaite se débarrasser. Il s’agit d’un gain de temps et d’efficacité conséquent car le robot est ici pleinement autonome.

Mais non réfléchie (ou pas encore…)

Pour des tâches et missions plus importantes, l’IA n’est pas forcément efficace car le contexte peut nécessiter une certaine réflexion que seul l’humain possède. Il lui faut réfléchir. De ce fait, le projet n’est pas automatique et sort du cercle d’apprentissage du robot, qui ne sait alors pas où donner de la tête. Il ne pourra pas accomplir la tâche correctement et prendre par la suite une réelle décision.

Les technologies vont de plus en plus loin dans leurs recherches, et on voit l’apparition rapide du machine learning et du deep learning ainsi que leurs développements. Toutefois, beaucoup appréhendent une utilisation correcte et efficace des algorithmes sur des sujets amenant à réflexion. Ces concepts technologiques sont réellement utiles pour des tâches simples et régulières, mais ils n’engagent pas une critique ou une pensée par eux-mêmes, générant alors rarement une bonne prise de décision. Par ailleurs, un algorithme est compétent uniquement dans son domaine. Enfin, il n’a jamais recours à l’émotion ou au côté humain qui influence les grandes prises de décisions.

Autant le préciser, de nombreux progrès sont encore à faire en la matière, même si les évolutions sont impressionnantes et prometteuses. Suivant le contexte, l’humain reste souvent le plus apte à répondre aux problématiques auxquelles les employés font faces. En effet, lui seul possède les compétences nécessaires à l’analyse des problèmes.

Une belle complémentarité

L’IA ne peut fonctionner seule et est loin de remplacer les compétences humaines. La combinaison et la collaboration Homme-algorithme permettent une exploitation de la data optimale. L’humain ne doit pas voir l’IA et ses algorithmes comme des concurrents, mais comme des compléments pour un travail bien plus efficace, et ainsi des résultats et un rendu plus performants. Ainsi, les machines assistent et aident l’Homme.

 

Notre monde se digitalise. Mais l’innovation technologique et la gestion de l’IA sont encore aujourd’hui gérées par l’Homme, ils le seront peut-être toujours. En effet, l’IA stocke la data, l’enrichit, identifie certains processus et les intègre, mais elle n’apprend pas si facilement et d’elle-même. Ainsi, la présence de l’Homme et ses offres en matière digitale sont indéniables, du moins pour le moment.